Un bref instant d'évasion...
d'autres évasions en cliquant sur les bannières
Parutions
Mars 2019
« Raconter Vivian Maier, c’est raconter la vie d’une invisible, d’une effacée. Une nurse, une bonne d’enfants.
Une photographe de génie qui n’a pas vu la plupart de ses propres photos.
Une Américaine d’origine française, arpenteuse inlassable des rues de New York et de Chicago, nostalgique de ses années d’enfance heureuse dans la verte vallée des Hautes-Alpes où elle a rêvé de s’ancrer et de trouver une famille.
Son œuvre, pleine d’humanité et d’attention envers les démunis, les perdants du rêve américain, a été retrouvée par hasard – une histoire digne des meilleurs romans – dans des cartons oubliés au fond d’un garde-meubles de la banlieue de Chicago.
Vivian Maier venait alors de décéder, à quatre-vingt-trois ans, dans le plus grand anonymat. Elle n’aura pas connu la célébrité, ni l’engouement planétaire qui accompagne aujourd’hui son travail d’artiste.
Une vie de solitude, de pauvreté, de lourds secrets familiaux et d’épreuves ; une personnalité complexe et parfois déroutante, un destin qui s’écrit entre la France et l’Amérique.
L’histoire d’une femme libre, d’une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux grands ouverts.
Je vais vous dire cette vie-là, et aussi tout ce qui me relie à elle, dans une troublante correspondance ressentie avec mon travail d’écrivain. »
G.J.
Dix ans après la mort de Vivian Maier, Gaëlle Josse nous livre le roman d’une vie, un portrait d’une rare empathie, d’une rare acuité sur ce destin troublant, hors norme, dont la gloire est désormais aussi éclatante que sa vie fut obscure.
Juillet 2018
Petite histoire essentielle de la futilité de Bruno Toméra
40 pages agrafées
tirage limité et numéroté
sur papier recyclé
offset 90 gr
couverture calcaire 250 gr
Textes de Bruno Toméra
l’auteur présenté par Jean-Louis Millet :
Tom le malgré tout poète
Quelle est cette manie de vouloir coller une bio ? les poèmes se
suffisent, non ? Pour les bios je préfère l'intime à deux, dans un canapé
moelleux, prêts à se défenestrer l'ego et le corps, dans le duel de la
parade séductrice.... (non je rigole)
Mais, faut se méfier des chats acculés dans les coins de murs, balancent
toujours de foutus coups de pattes, enfin... je suis aux aguets des
pulsions de révoltes comme autant de petits espoirs de cette humanité
déchue.
Ce regard entrouvre la porte d'un désir
que nous n'aurons pas le temps de franchir
c'est le cambriolage d'une caresse
qui restera là, dérobée, sans adresse.
… mais, avec le recul, y a de quoi pondre quelques belles foutues
phrases sur le tapis savonneux de l'existence.
Mon rire délivre insolent et joyeux l'impertinence de vivre.
Tom
Ouvrier mécanicien pour la raison sociale, poète essentiellement
chercheur de vie et d’étonnement, chercheur de musicos chanteurs & enchanteurs aussi
pour que les mots puissent vaincre les lois de la gravité.
Bio
recomposée par petits prélèvements dans l’œuvre et les
échanges épistolaires avec "le malgré tout poète"
illustrations originales de Jean-Louis Millet
Grand spécialiste en rien mais curieux de tout : dessin, peinture, sculpture, photo, écriture, vidéos, édition virtuelle, chasse aux connivences & alternatives…
Ensemble de ‘’propos’’ mis en actes dans l'animation de blogs et de sites dont "Zen-évasion", site cave-grenier aux malles ego-mystérieuses : vous y êtes !!!
Il a déjà maintes fois illustré la revue Nouveaux Délits ainsi que d’autres publications de l'association Nouveaux Délits comme Ailleurs simple ; Claques & boxons ; Guerres et autres gâchis (textes de Cathy Garcia) et ses encres sont à l’origine du livr’art : États du Big Bang. Il a illustré Le poulpe et la pulpe de Cathy Garcia également (Cardère éd., 2010), Cheval rouge de Fanny Sheper ( éd. thebookedition.com ) et Des brins et des bribes (éd. Du Cygne, 2011) de Werner Lambersy.
Il a exposé certains de ses travaux artistiques, notamment à Perros-Guirec, en Bretagne, sa terre-évasion.
« Au retour dans la bagnole, intercalé dans la file des pressurés
l'humanité klaxonnait, gueulait, les bras au ciel, pressés
de se jeter corps et âmes dans d'autres emmerdements.
Le connard de derrière habillé en voiture dernier cri
gesticulait dans le rétro, le poing brandi.
Garde toujours le piaf des urgences dans ton cœur
Garde toujours le piaf des urgences dans ton cœur.
Que je me suis dit. »
Serrant mes mains dans ses mains
elle me dit :
“Gamin, c'est une bulle de savon, la vie,
ça pique les yeux et c'est fini.”
10 €
à commander à
Association Nouveaux délits
Létou
46330 St Cirq-Lapopie